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chaumièreUne jeune étudiante hongroise cherche une chambre à Paris :

    pour le 1er septembre
    pour quatre mois
    pour 400 Euros au maximum.

Elle est protestante & parle français.

Peut-être il y a quelqu’un qui serais heureux de ne pas être seul dans son appartement et qui pourrait offrir une chambre.

Pourriez-vous l’aider?

Merci

Ange de Paul Klee

Ange de Paul Klee

Question d’un visiteur :

Bonjour,

Ayant eu un échange avec une amie au sujet de la prière. Je lui disais remercier Dieu pour ce qui me réjouit comme par exemple un rayon de soleil sur un champ de coquelicot ou la chance d’avoir des amis, une petite fille adorable, d’être en bonne santé, etc., etc. …
Ce à quoi elle me répond : « Le fait même de remercier Dieu en particulier pour toute chose qui nous arrive de bien me pose problème. Si Dieu n’est pour rien dans nos malheurs pourquoi serait il à l’origine de nos bonheurs ? »

Alors que puis-je lui répondre ?

Bien amicalement.

Réponse d’un pasteur :

Bonsoir,

« Si Dieu n’est pour rien dans nos malheurs pourquoi serait il à l’origine de nos bonheurs ? » demande votre amie.
Mais pourquoi faudrait-il que ce soit symétrique ?
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montagneVoici un extrait d’un texte de Gustave Thibon que j’aimerai partager. Il n’est pas dans son intégralité et je ne sais pas de quel ouvrage il est tiré… Mais il m’a beaucoup portée.

L’être qui court le moins de risques est ici-bas l’être le plus voisin du néant: qui ne risque rien n’est rien. Le risque est fait pour être couru: chaque être porte en lui de quoi surmonter les risques auxquels sa nature ou sa vocation l’exposent. Le plus grand risque est fonction du plus haut destin….La destinée de chaque homme est commandée par la réponse intérieure qu’il fait à cette question: de l’amour ou de la mort, lequel est une illusion?
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pasteur James Woody

prédication du pasteur James Woody
sur ce texte de la Bible : 2 Corinthiens 3:6-17

C’est le 6 juin 1944 que les troupes alliées s’engagèrent dans la bataille de Normandie. En lisant les lettres qu’un jeune soldat américain écrivit à sa famille avant le désormais fameux D-Day, « jour de la décision », j’ai eu l’occasion de prendre conscience que pour ces jeunes américains qui s’apprêtaient à traverser la manche afin de débarquer sur les côtes françaises, il n’était pas question d’esprit belliqueux, d’esprit de revanche, d’esprit de haine, d’esprit d’en découdre avec une idéologie ou un ennemi héréditaire. […]

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Albert Rouet

Albert Rouet

Archevêque de Poitiers, Mgr Albert Rouet est l’une des figures les plus libres de l’épiscopat français. Son ouvrage J’aimerais vous dire (Bayard, 2009) est un best-seller dans sa catégorie. Vendu à plus de 30 000 exemplaires, ce livre d’entretiens porte un regard assez critique sur l’Eglise catholique.

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Spiritualité

rosesLa spiritualité semble avoir une signification différente pour chacun de nous. Une définition standard serait : « Un sentiment de signification et de but; un sentiment de soi et d’une relation avec ‘ce qui est plus grand que soi' ».

Actuellement, la religion et le mysticisme semblent avoir le monopole de la spiritualité. La religion théiste concerne souvent une ‘relation avec dieu’ ou le créateur divin, comme une relation spirituelle, tandis que les Mystiques trouveront souvent une relation à une force ou un pouvoir ‘surnaturel’. Le fait est que, d’une façon pratiquement universelle, la spiritualité a à voir avec une ‘relation’ à un niveau ou à un autre. Dans la plupart des perspectives, c’est associé à la ‘place’ d’une personne ou sa ‘signification’ dans la vie… quelle qu’elle soit.
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Simone Lagrange

Simone Lagrange

Puis-je signaler ce film documentaire vu voir hier en avant-première au MAHJ (musée d’art et d’histoire du Judaïsme).

Déportée à l’âge de 13 ans, Simone Lagrange est une survivante d’Auschwitz-Birkenau et l’un des témoins majeurs du procès Barbie. Le film recueille aujourd’hui son récit. Aux adolescents qui l’écoutent, elle dit : « je ne suis pas devenue ce qu’ils auraient voulu que je sois ». Dans la vigueur de sa parole, se retrouvent l’adolescente de 13 ans qu’elle était, autant que la révolte et la ténacité qui ont toujours été les siennes. L’expérience intime qui est au cœur de tout témoignage de déporté, dans sa subjectivité même, fait de chaque témoin le porteur d’une parole irremplaçable. La singularité de celui de Simone Lagrange nous confronte à la question insondable de l’humanité d’Auschwitz comme à celle de l’énergie vitale du sujet qui maintient l’humanité.
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Henri IV en Hercule, peint par Toussaint Dubreuil

Henri IV en Hercule, peint par Toussaint Dubreuil

Le Louvre consacre jusqu’au 21 juin une exposition aile Denon 1er étage à Toussaint Dubreuil, peintre français adulé en son temps, chef de file de la seconde école de fontainebleau et du maniérisme tardif en France.

Fils d’un sellier, il est né à paris en 1558 ou en 1561 et mort à paris en 1602. Il a été peintre d’Henri III et Henri IV.

Hélas les grands décors qu’il a réalisé pour Fontainebleau, Saint Germain en Laye et la petite galerie du Louvre ont pour l’essentiel disparu. Des 27 tableaux du cycle d’hercule (traditionnellement assimilé au roi de France), disparus en 1703, il ne reste à l’exposition que « le jeune hercule apprenant à tirer à l’arc » et des 78 peintures du cycle de la Franciade de Ronsard (l’origine légendaire des rois de France), disparus en 1777, il ne reste que 6 tableaux dont trois sont à l’exposition.
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Pochoir au Musée Marcel Proust, à Illiers Combray

Pochoir au Musée Marcel Proust, à Illiers Combray

Proust a la dent dure dans son regard sur le protestantisme.

Il donnait cette définition « le protestantisme : la charité, soutenue par la banque ».

Dans les plaisirs et les jours, Proust évoque ainsi le protestantisme dans le pastiche « mondanité et mélomanie de Bouvard et Pécuchet » :

Ils ne se sentaient pas un plus vif amour de la société protestante ; elle est froide, guindée, ne donne qu’à ses pauvres, se compose exclusivement de pasteurs. Le temple ressemble trop à la maison, et la maison est triste comme le temple. On a toujours un pasteur au déjeuner; les domestiques font des remontrances aux maîtres en citant des versets de la bible ; ils redoutent trop la gaieté pour ne rien avoir à cacher et font sentir dans la conversation avec les Catholiques une rancune perpétuelle de la révocation de l’édit de Nantes et de la Saint Barthélémy.

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